Un beau jour d’hiver, un jeune bébé se trouvait au milieu d’une prairie de verdure abandonnée et recouverte par la neige, personne ne venait jamais ici, mais un jour ou ce bébé se trouvait dans un état critique une personne qui semblait être une homme d’assez grande taille et assez vieux, la tête couverte par une cape de cuir recueillit le nouveau né, le prit dans ses bras et l’amena chez lui.
Ils rentrèrent dans une cabane réchauffée qui était beaucoup plus confortable qu’un panier d’osier dans la neige !
L’homme prit un biberon qu’il avait déniché dans le grenier, le lava et prépara une petit biberon chaud pour le bébé et lui donna, le bébé sourit dès cet instant.
Le bébé finit son biberon et commença à s’assoupir, il s’endormi.
L’homme se leva du petit lit douillet qu’il avait concocté au petit et mangea à son tour, il termina son repas, se déshabilla et se dirigea vers la douche.
Il en sortit se mit en un pyjama assez chaud, se dirigea vers le lit du nourrisson et lui fit un baiser sur le front et dit :
« Dors bien petit, demain nous irons en ville pour t’habiller et t’acheter de quoi te nourrir ! »
Et l’homme partit se coucher.
Le coq chantait, l’homme se réveillait et le bébé de même, le vieil homme prépara un petit déjeuner copieux et tous les deux prirent la route pour la ville.
Ils arrivèrent en ville lorsque une amie du vieil homme vu le bébé et lui dit :
« Non de dieu, tu as un fils maintenant ?
Le vieil homme répondit :
-Non j’ai recueilli ce bébé dans la prairie à côté de la maison dans la neige, il était abandonné.
-Ah, d’accord tu veux de l’aide pour l’élever ?
-Le vieil homme bredouilla :
-Si jamais tu veux je ne te refuse pas l’aide, tu es ma meilleure amie pourquoi te refuserais-je ce service que tu me proposes ! »
L’homme alla en ville et acheta de la nourriture et des habits pour la jeune bébé, son amie les suivait et lui tendit une bourse pour rembourser les achats qu’il à fait pour cet enfant, le vieil homme confus dit :
« Je ne peux accepter cette bourse tu es mon amie tu as plus besoin que moi de cet argent pour fonder ton avenir !
-Non prends cette bourse je n’en ai pas besoin j’ai bien ce qu’il faut pour mon avenir !
Le vieil homme s’exclama :
-Merci de tout ce que tu fais, merci, je suis dans l’obligation de l’accepter je n’ai pas le pouvoir ,de te refuser quoi que ce soit ! »
Et les trois personnes reprirent la route…